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La subsidiarité à l’épreuve de la crise

En France on a ce que Michel Serres appelait des entreprises Tour Eiffel, avec des décisions qui sont prises en haut de la pyramide et qui découlent jusqu’en bas. C’est très beau à regarder mais en période de crise c’est plus compliqué à mettre en mouvement. Et il y a la métaphore du culbuto : cet objet qu’on peut basculer à droite ou à gauche et qui revient toujours à sa position initiale. Il est en capacité de s’adapter parce que son centre de gravité est au plus près du terrain, du client, si on l’applique à l’entreprise.

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